samedi 13 décembre 2014

Le Théâtre Existentialiste

Nous avons étudié quelques exemples des pièces de théâtre existentialistes et absurdes. Mais pour ce post, je voudrais parler de théâtre existentialiste. L'existentialisme a été fonde par Jean-Paul Sartre, une philosophe français qui était populaire les années après la libération de la France et la fin de la deuxième guerre mondiale. L'existentialisme est l’idée qu'un est responsable pour son propre actions; notre existence n'est pas déterminé par le Dieu ou le Destin.

Jean-Paul Sartre


Sartre (1905-1980) était un écrivain, une activiste et un critique littéraire.  Pour le classe, nous avons vu un documentaire pour achever un compréhension de sa vie, mais en plus, nous avons lu son pièce de théâtre, Huis Clos. Ce texte était amusant dans un façon d’appréciation sans moralité--je peux rire quand je pense à moi même comme un individu séparée et innocent de leurs crimes. J’étais un peu protégée par mon propre malentendu de l'histoire. Ce n’était pas jusqu'au conversation en classe que j'ai compris totalement les crimes, les deuxièmes histoires des personnages. J’étais choquée par leur indifférence vers leurs crimes, qu'ils ont parlé si casuellement d'en. Il n'y avait jamais des moments de remords et les gens, en particulière Garcin et Estelle, ont essayé d’éviter la culpabilité. Inès est un peu plus honnête, mais a mon avis, c'est afin qu'elle puisse critiquer les autres, Elle ne donne jamais les munitions aux autres pour se blesser.


La grande ironie de ce texte est que tous les gens, spécifiquement Garcin, ont essayé d'ouvrier la porte, mais il ne réussit pas. A la fin quand la porte est ouvert, il et Estelle n'ont pas la courage de quitter la chambre: ils ont peur de regarder en face d'une autre personne qui peut faire de jugement sur leurs caractères. Pour moi, c'est un type de damnation auto-infligé. Ils ont fait des mauvaises choses, des péchés et encore ils ont choisi l'enfer pour un deuxième fois. C'est une conception de la peur sans courage, sans la capacité de se lever l'au-dessus.

Il y a un autre point dans le livre qui me rend étonné. Inès est une lesbienne ouvert. Elle ne cache pas sa nature et pendant l'action du texte, elle essaye de séduire Estelle. J’étais sur l'impression que la homosexualité n’était pas accepté par la société générale. Quand j'ai fait du recherche à Colette, il y avait un moment quand elle et une autre femme, Missy, ont partagé une bise passionnante dans une représentation (la Rêve d’Égypte) qui a inspiré une émeute. (http://www.moulinrouge.fr/vedette/colette)

Mais j'ai un meilleur compréhension du temps après la deuxième guerre mondiale a la France et l'effet de Sartre sur le public. C’était un temps de liberté pour toute la France et il y avait un air de rébellion, de jeter tous les anciennes lois au dehors de la fenêtre.

Inès et Estelle

Nous avons aussi lu l’Hôte, par Albert Camus (1913-1960). Camus était un écrivain, un philosophe, une journaliste et un pair de Sartre. Pendant la guerre, il était un part de la Résistance et il a parlee pour la reste de son vie contre les idées du totalitarisme. Il a gagne le prix Nobel français et a écrit des essaies, des romans, des petites histoire et des travaux autobiographique. Il est mort tragiquement dans une accident de voiture quand il avait quarante-six. C'est lui qu'il a lance le début du théâtre absurde, mais je trouve l’Hôte d’être une combinaison des idées d’absurdité et d'existentialisme.

Albert Camus

La personnage principal dans l’Hôte est Daru, un professeur dans l’Algérie quand elle était un province de la France. Daru est une victime de circonstance. Il décide son propre titre et emploi, alors l’on ne peut pas trouver la faute. Il essaye d’aider les gens dans le village et fournit l’éducation (française bien sûr, mais un type de connaissance importante pour la situation entre l’Algérie et la France). Mais il rejette tous les autres soucis dans la vie. Quand Balducci arrive et lui donne la tâche d’accompagner l’Arabe chez les autorités, il dit « non, ce n’est pas ma responsabilité. » Il a raison mais Balducci laisse l’Arabe dans les mains de Daru pour prendre des décisions, donc le destin de l’Arabe devient sa responsabilité.

Il a du respect pour l’Arabe comme un humain, mais il a peur aussi parce qu’il sait que l’Arabe est accusé du meurtre. Il offre de petites choses comme un hôte : des repas, du thé, un lit, etc., mais il porte aussi un fusil pour sa protection. Il y a une situation polie mais la politesse est presque de fausseté parce que les deux hommes partagent les suspicions et le stress parce qu’ils sont tous les deux hôte mais aussi criminel et garde chacun. Encore, Daru espère que toujours s’il offre l’opportunité d’échapper, l’Arabe la prendra. C’est la dernière tentative passive de Dura pour éviter la tâche.

Quand le temps arrive, Daru marche avec l’Arabe, mais quand ils arrivent à un point spécifique dans le chemin, Daru s’arrête. Il donne l’argent et les aliments à l’Arabe et il indique les deux chemins pour aller à Tinguit et au désert, à la liberté. Il offre le choix. C’est un moment important parce qu’il donne l’opportunité à l’Arabe de poursuivre la justice pour son crime. C’est une considération énorme de la part du Français vers un arabe mais aussi encore une autre option d’éviter la vraie responsabilité de prendre le criminel au Tinguit. Daru a des motivations mélangés mais honorables dans leur expression.  L’absurdité et qu’il sera puni pour sa considération.

Albert Camus and the Cat Detective by ClareWelsh
"Albert Camus and the Cat Detective" par Clare Welsh

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